Deux pans énergétiques luttent pour s’imposer comme le carburant du futur de l’automobile. D’un côte on a l’électrique qui a ses différents et nombreux acteurs, et de l’autre nous avons l’hydrogène, où seuls deux acteurs investissement massivement, Toyota et Hyundai. Alors que Hyundai le sud-coréen ne lançait son premier modèle à hydrogène qu’en 2018, le Nexo, il fallait remonter jusqu’en 2016 pour voir le premier modèle du genre lancé par Toyota, le Mirai. Après 3 années de commercialisation et un succès plus que mitigé, Toyota a décidé de rééditer sa Mirai en lui octroyant de solides arguments de vente.
Les défauts de la totyota mirai, qui expliquent son non succès commercial
Autant y aller franco, le Toyota Mirai est un véhicule à l’apparence… unique. Inédite, particulière, singulière… Elle plaira ou ne plaira pas. C’est en tout point son principal défaut, son apparence. Cependant, cette apparence est commandée par des choix techniques de carburant : l’hydrogène.
En effet pour fonctionner une voiture à hydrogène a besoin de beaucoup d’air afin de réaliser les réactions d’électrolyse nécessaires à la création d’énergie à partir de l’hydrogène contenu dans son réservoir. Seul bémol, ces réactions ont besoin d’oxygène qui se trouve surtout dans de l’air. Raison pour laquelle la voiture du nippon arborait ses grosses fentes en façade qui plombèrent ses ventes.
Toyota a appris de ses erreurs
Conscient du fait qu’il y a un coup à jour dans le marché non encore saturé de l’hydrogène, Toyota a l’intention d’offrir à son porte-étendard un lyfting qui risque de plaire à plus d’un. Nous vous laissons juger vous-même des changements que se prépare à opérer Toyota sur la Mirai :
Le nouveau Toyota Mirai devrait être officialisé durant le Tokyo Motors Show qui ouvrira ses portes dans quelques jours seulement.