À l’heure où les énergies renouvelables peinent à suivre la demande en électricité, une solution innovante pourrait bien changer la donne. Imaginez une tour qui non seulement s’élève comme une prouesse architecturale, mais sert également de batterie géante pour stocker l’énergie gravitationnelle. Cela semble être le futur que nous réserve une collaboration entre des experts en architecture et en énergie.
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Un concept révolutionnaire de stockage d’énergie
Les périodes de forte demande en électricité ne coïncident pas toujours avec la production d’énergie renouvelable. En hiver, par exemple, le besoin en électricité augmente alors que le soleil se couche et les panneaux solaires cessent de fonctionner. L’énergie éolienne, de son côté, est également imprévisible.
Pour résoudre ce problème, il est crucial de stocker l’énergie produite afin de l’utiliser au moment le plus opportun. Parmi les différentes options disponibles, les batteries apparaissent comme la solution indispensable pour une transition vers une énergie 100 % renouvelable. Les technologies de stockage sont essentielles pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050, selon l’Association internationale de l’énergie.
Le partenariat entre som et energy vault
Dans ce contexte, le cabinet d’architecture et d’ingénierie Skidmore, Owings & Merrill (SOM) propose une alternative innovante. En collaboration avec Energy Vault, ils souhaitent démocratiser le stockage d’énergie par gravité. Cette technologie a été mise en service pour la première fois en Chine l’année dernière.
Le principe est simple : de lourds blocs sont soulevés jusqu’au sommet d’une tour et, lorsque la demande en électricité augmente, ces blocs sont relâchés. En descendant, ils activent des turbines qui génèrent de l’électricité. Cette méthode, appelée énergie gravitationnelle, pourrait devenir un pilier de la transition énergétique.
Des défis et des opportunités pour l’avenir
Un projet de tour habitable utilisant cette technologie pourrait devenir le plus haut bâtiment du monde. Plus la tour est haute, plus elle pourrait compenser rapidement les émissions de carbone générées par sa construction. Cette période de compensation est estimée entre deux et quatre ans.
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En Chine, la première structure d’Energy Vault peut compenser une consommation de 100 MWh grâce à ses 150 mètres de hauteur. Cependant, certains experts doutent de la viabilité économique d’un tel projet. Néanmoins, Energy Vault et SOM sont convaincus que leur technologie est la solution.
🔎 | Résumé |
---|---|
🏢 | Une tour géante pour stocker l’énergie |
💡 | Utiliser l’énergie gravitationnelle pour générer de l’électricité |
🌍 | Objectif de neutralité carbone d’ici 2050 |
🔧 | Partenariat entre SOM et Energy Vault |
📉 | Défis économiques et techniques à surmonter |
Les deux entités envisagent une superstructure dont la hauteur pourrait varier de 300 à 1 000 mètres. Cette tour intégrerait dès sa conception des emplacements pour les blocs, permettant de générer de l’électricité en cas de besoin. Ces espaces seraient similaires à des cages d’ascenseur.
Une telle construction pourrait devenir déterminante en termes de rentabilité écologique. Plus la tour est haute, plus vite elle pourra compenser les émissions de carbone créées lors de sa fabrication. La première structure d’Energy Vault en Chine a déjà démontré son efficacité.
- Stockage d’énergie renouvelable
- Réduction des émissions de carbone
- Innovation technologique
Ce projet ambitieux pourrait-il être la clé pour une transition énergétique réussie ? La tour la plus haute du monde pourrait-elle devenir une batterie géante ? L’avenir nous le dira.
Wow, c’est fascinant! Comment l’énergie gravitationnelle est-elle stockée exactement? 🤔
Merci pour cet article informatif! J’ai appris beaucoup de choses aujourd’hui.
N’est-ce pas un peu risqué de construire des tours si hautes juste pour le stockage d’énergie?
Comment cette technologie se compare-t-elle aux batteries traditionnelles en termes de coût?
J’adore l’idée! Cela pourrait vraiment changer la donne pour les énergies renouvelables. 💡
Les blocs utilisés sont-ils faits de matériaux spécifiques pour maximiser l’efficacité énergétique?
Ça m’a l’air un peu trop beau pour être vrai. Où est le piège?
Dans les années 1070 au concours l’épine de Paris un inventeur avait développé un système d entraînement inspiré des horloges contoiseles poid étaient remontés spot par de l’eau avec des contenants spot avec l énergie du vent une fois ces poids remontés la démultiplication du mécanisme decuplait la production d électricité
Un écologiste de 72 ans