Le week-end dernier à Hong Kong, la 50e course de Formule E s’est déroulée sous un ciel couvert de nuages menaçants et de pluie. La version électrique de la Formule 1 a été créée en 2014 par le chef de la FIA, Alejandro Agog, et était la première course de son histoire en cinq ans à se dérouler sur une route mouillée.
Malgré le temps maussade, l’événement n’évoque pas le pessimisme. En fait, c’est tout le contraire, car il présente une vision optimiste de l’avenir de la course automobile, mais aussi de la mobilité et de l’environnement urbain dans son ensemble.
L’électrique est l’avenir de la mobilité
L’avenir de la mobilité est électrique et la Formule E suit ce changement dans le secteur. Dès que vous quittez l’aéroport, il est évident que Hong Kong est une ville qui s’emploie sans relâche à envisager un avenir durable et électrique.
Voici une vidéo montrant un véhicule 100 % électrique dédié à la course :
Entre l’aéroport et l’hôtel, vous pourrez croiser au moins 20 véhicules électriques Tesla. Pour une ville composée de près de 7 millions d’habitants sur une surface équivalente à un dixième de la taille de Melbourne, il n’y a pas que l’espace pour habiter qui compte, mais l’espace pour conduire également et l’air pur.
Développer les transports propres
Tenue dans l’estran du quartier financier et des affaires de Hong Kong, la Formule E est un véritable phénomène. La possibilité de transports propres, d’air pur et, en définitive, d’une réponse au changement climatique, à la pollution et à tous les risques associés pour la santé et la qualité de vie sont autant de raisons qui ont poussé les organisateurs à lancer cet événement.
Soutenue par le géant mondial de l’automatisation et de la recharge de voitures électriques ABB, la Formule E représente non seulement une opportunité de mettre en avant une technologie de mobilité électrique de pointe, mais aussi de stimuler son développement.