Voyager sur la planète Mars est le rêve de beaucoup de terrien, des plus jeunes aux grands astronautes. La découverte de nouveaux espaces et de nouvelles choses est une perspective qui a toujours enchanté l’humain. Cependant, le coût d’un tel voyage serait astronomique. Ainsi, pour maintenir le rêve, des bus spécialement aménagés pour faire des voyages sur Mars en réalité virtuelle ont été créés.
Amener les enfants à s’intéresser à la science spatiale
Les enfants sont l’avenir de l’humanité. Ils seront les explorateurs de demain. Et, il était plus qu’important d’inculquer chez eux cette fibre de la découverte et de l’exploration. Cela commence bien entendu par la création de l’émerveillement et de la stupéfaction chez eux pour qu’ils deviennent des acteurs conscients dans le futur. Et c’est exactement le but de ces bus spéciaux.
Un concept ludique pour les enfants
Pour que les enfants s’intéressent à cette science de l’exploration spatiale, il faut rendre les expériences plus ludiques et plus accessibles. De plus l’enfant reste très visuel. Pour lui, les images restent plus que les sons. Donc, en utilisant la réalité virtuelle pour lui montrer Mars, l’impact sera plus important. Field Trip To Mars est donc un des meilleurs moyens pour le faire, en proposant de découvrir la planète rouge à travers des écrans de réalité virtuelle. Ces écrans sont placés à la place des fenêtres d’un bus scolaire. Ainsi, lorsque les enfants montent dedans, ils ont l’impression de faire le voyage à travers un appareil roulant sur le sol martien.
Un projet aux multiples intervenants
La mise en place de ce projet a nécessité le partenariat de plusieurs entités. Il s’agit entre autres de l’entreprise aéronautique Lockheed Martin, de l’agence d’effets spéciaux Framestore et de l’entreprise Mac Cann New York. Le moteur graphique utilisé pour la conception des images qui défilent sur les écrans en résolution 4K vient du célèbre Unreel. Le bus interagit aussi avec les personnes qui sont à l’intérieur notamment dans les virages ou encore lors des passages sur bosse sur les 250 m² de zone dégagée pour ce projet dans la capitale des États-Unis d’Amérique.