Avion spatial secret chinois : la Chine survole l’Europe et un amateur autrichien parvient à capturer l’image de l’engin mystérieux

Depuis plusieurs années, les missions de l’avion spatial Shenlong restent entourées de mystère. Découvrons ensemble ce que ces nouvelles images nous apprennent.

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La découverte inattendue de Felix Schöfbänker

Felix Schöfbänker, un astronome amateur, a réussi un exploit : photographier l’avion spatial chinois Shenlong alors qu’il survolait l’Europe. Utilisant un télescope modifié, il a capturé des images détaillées de ce véhicule secret.

Les images révèlent des structures à l’arrière du Shenlong, jusqu’alors inconnues. Ces structures pourraient être des panneaux solaires ou des antennes, suggérant des capacités autonomes avancées.

Cette découverte est d’une importance capitale, car elle permet de mieux comprendre la technologie employée par la Chine pour ses missions spatiales secrètes.

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Caractéristiques et missions de Shenlong

Shenlong, signifiant « Dragon divin » en chinois, mesure environ 10 mètres de long, légèrement plus grand que son homologue américain, le X-37B. Ce véhicule non habité est conçu pour des missions de longue durée en orbite.

Les analystes occidentaux spéculent sur les capacités précises du Shenlong, qui restent confidentielles. Les missions de cet avion spatial sont entourées de mystère, alimentant les théories sur ses véritables objectifs.

La réalité virtuelle au musée

Une récente mission a vu le Shenlong déployer un objet en orbite et effectuer des manœuvres complexes pour s’en approcher à nouveau. Cela suggère que la Chine teste des technologies d’inspection ou de capture de satellites.

• Shenlong est légèrement plus grand que le X-37B américain
• Les missions restent entourées de mystère
• Les analystes spéculent sur ses capacités autonomes

Implications géopolitiques et militaires

Les analystes occidentaux suivent de près les activités de Shenlong, suspectant que cet avion spatial puisse être utilisé pour des missions d’espionnage ou de neutralisation de satellites ennemis. Cette hypothèse est renforcée par les manœuvres complexes observées lors de ses dernières missions.

Ces opérations indiquent que la Chine pourrait tester des technologies d’inspection ou de capture de satellites. Cela alimente les craintes d’une nouvelle guerre froide technologique entre les grandes puissances.

Comme dans les années 1960, l’espace est redevenu un champ de bataille stratégique crucial pour la défense et la sécurité nationale.

L’observation de Felix Schöfbänker n’est pas passée inaperçue dans les milieux du renseignement, qui y voient un nouvel indice de la rivalité croissante entre la Chine et les États-Unis. Le Shenlong pourrait bien être un élément clé de cette nouvelle course aux armements spatiaux.

Cette perspective soulève des questions importantes : jusqu’où iront ces deux puissances pour assurer leur suprématie dans l’espace ?

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