« Oui, des vaisseaux volants sortent de l’océan » : un marin de l’US Navy affirme avoir observé une scène sidérante digne d’un autre monde

Au cours des dernières années, les témoignages sur les phénomènes aériens non identifiés (UAP) ont suscité un intérêt croissant. Parmi les récits les plus captivants, celui du spécialiste en opérations de la marine américaine, Alexandro Wiggins, se démarque. Ce vétéran, fort de 23 ans d’expérience, apporte un éclairage précieux sur des événements qui continuent de défier notre compréhension des capacités technologiques actuelles. Alors que les témoignages s’accumulent, la question de la transparence et de la communication autour de ces phénomènes devient cruciale. Comment les institutions militaires gèrent-elles ces informations, et quelles implications pour la sécurité nationale ?

UAP émergeant de la surface de l’océan

Lors d’une mission de routine au large de la Californie du Sud en février 2023, Alexandro Wiggins a vécu une expérience surprenante. Alors qu’il surveillait l’espace aérien à bord de l’USS Jackson, il a détecté des retours radar inhabituels. Ces anomalies l’ont conduit à observer de visu un objet lumineux émergeant de la mer, défiant toute explication conventionnelle. Ce phénomène, sans propulsion apparente, évoque les rencontres précédentes avec des objets en forme de tic-tac, déjà signalées par la marine américaine.

À l’aide du système SAFIRE, Wiggins a suivi l’évolution de ces objets, dont le comportement s’écartait des normes établies. Quatre objets distincts, évoluant en formation, ont été observés. Leur accélération fulgurante vers le nord-est, sans signature thermique ni émission d’échappement, soulève des questions. Selon Wiggins, ces objets ne représentaient pas une menace immédiate, une raison pour laquelle aucun rapport officiel n’a été déposé. Cependant, son témoignage enrichit la documentation croissante des UAP dans cette région souvent associée à des activités aériennes inexpliquées.

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Pas le premier incident

Ce n’était pas la première fois que Wiggins rencontrait de tels phénomènes. En 2019, à bord de l’USS Omaha, il a été témoin d’une série d’incidents impliquant des objets sphériques de grande taille. Ces objets, capables de manœuvrer autour du navire pendant plus d’une heure, ont même été aperçus s’immergeant dans l’eau. Wiggins, bien qu’il ne se considère pas comme un lanceur d’alerte, souligne l’importance de reconnaître l’impact opérationnel de ces rencontres.

La création de l’Office de résolution des anomalies interdomaines (AARO) par le Département de la Défense visait à centraliser l’analyse de ces phénomènes. Pourtant, des doutes subsistent quant à l’efficacité de cette entité. Les militaires en activité et les anciens combattants expriment des réserves sur la crédibilité des enquêtes, compromettant ainsi la confiance des opérateurs de première ligne.

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Confiance et transparence en question

Malgré l’absence de rétroaction tangible, le scepticisme grandit parmi ceux qui ont été confrontés à ces événements. Marik von Rennenkampff, analyste et ancien fonctionnaire du ministère de la Défense, a examiné les enregistrements de vol de cette période. Son analyse confirme l’absence d’aéronefs conventionnels à proximité de l’USS Jackson au moment des faits, écartant ainsi les hypothèses d’activités aériennes civiles ou militaires.

Wiggins évoque avec une certaine nostalgie l’idée que ces phénomènes pourraient un jour être démystifiés, comme ce fut le cas pour le chasseur furtif ou la zone 51. Mais il craint que cela n’arrive trop tard pour avoir un impact significatif. En attendant, la question de l’ouverture et de la communication autour de ces incidents reste un sujet de débat majeur.

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Implications pour l’avenir

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Les récits comme celui de Wiggins soulèvent des questions essentielles sur notre compréhension de l’environnement aérien. Alors que la technologie continue d’évoluer, la capacité à identifier et à répondre à ces phénomènes devient un enjeu stratégique. La coordination entre les différentes branches militaires et les agences civiles pourrait s’avérer cruciale pour garantir la sécurité et la transparence.

À mesure que de plus en plus de témoins se manifestent, les autorités devront adapter leurs protocoles pour répondre à ces défis. L’avenir des enquêtes sur les UAP dépendra de la volonté des institutions d’embrasser la complexité de ces phénomènes et de fournir des réponses transparentes et étayées. Quelle sera la prochaine étape pour comprendre et gérer ces phénomènes qui défient notre perception de la réalité ?

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